bretagne

Les cimetières typiquement bretons sont granitiques et peuvent paraître austères. Toutefois, la végétation, très présente, adoucit leur paysage.

Cimetière Saint Michel à Saint Brieuc

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Ce dernier est le plus vieux cimetière de la ville. Construit en 1839, plus de 15 000 personnes y sont inhumées. On y recense des tombes de soldats de l’armée napoléonienne. On y trouve également la tombe funéraire du père d’Albert Camus, ce dernier cite d’ailleurs ce lieu dans un de ses romans.


Cimetière du Vil

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Il s’agit d’un cimetière marin situé dans la ville de Roscoff en front de mer. Il fut construit à la suite d’une décision de la ville de déplacer les cimetières en périphérie de la ville à cause des épidémies de choléra. On y trouve de nombreux naufragés du XIXème siècle ainsi que des marins. En 2009, le maire décide de fermer ce dernier provoquant de vives polémiques au sein de la ville.


Cimetière du Nord de Rennes

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Construit à la fin du XVIIIème siècle, il s’agit du plus vieux de la ville. Avec plus de 13 000 concessions funéraires, il ne fait pas moins de 9 hectares. La verdure, très présente, donne du charme à ce cimetière typiquement breton.


Cimetière marin de Tréboul à Douarnenez

 Le cimetière de Tréboul à Douarnenez, en Bretagne, est célèbre pour sa vue sur la mer et est souvent choisi comme lieu de sépulture par les marins. Il abrite également les tombes de personnalités locales, dont Armand Lauvergnat, John-Antoine Nau (lauréat du prix Goncourt), et Georges Perros (auteur et poète). Des plaques commémoratives honorent les marins disparus en mer, et à l’extérieur du cimetière, une stèle rappelle Virginie Hériot, une navigatrice célèbre, dont le corps est inhumé à proximité en tant que cénotaphe malgré son souhait initial d’être enterrée en mer au large de Brest.


Cimetière de Saint-Martin à Brest

Le cimetière de Saint-Martin de Brest, le plus vieux de la ville, a été ouvert en 1794. Il couvre 6 hectares et compte environ 12 000 sépultures, dont celles de familles notables et d’officiers de la Marine. À l’origine, il s’appelait Kerjean-Vras, devenant le cimetière principal de Brest après l’interdiction des inhumations en ville. Dans les années 1880, il a été rebaptisé  en l’honneur du maire de Brest de l’époque, Hyacinthe Martin Bizet.